Foire aux questions

Pour les salariés n'ayant pas opté pour la déduction de leurs frais réels, les cotisations syndicales ouvrent droit à un crédit d’impôt.

Le crédit d’impôt est égal à 66% du total des cotisations versées. Toutefois, ce montant ne peut excéder 1% du montant des traitements, salaires, avantages en nature ou en argent, pensions, rentes viagères à titre gratuit payés à l’adhérent, diminué des cotisations sociales déductibles.

A Noter : Si vous avez opté pour la déduction des frais réels au titre de vos traitements et salaires, vous devez inclure les cotisations syndicales dans les frais réels et par conséquent,  vous ne pouvez pas bénéficier du crédit d’impôt.

Mon syndicat au travers de mon délégué de proximité, m’accompagne en toutes circonstances professionnelles. Mon délégué a un devoir de secret professionnel.

Il m’informe, il me conseille, il peut me servir de médiateur ou de défenseur, à ma demande.

Mon syndicat veille à ma situation personnelle dans les diverses commissions paritaires.

Bien évidemment, il est possible d’être sympathisant de l’UNSA Défense sans être adhérent. Dans ces cas-là, n’hésitez pas à nous soutenir en allant voter pour UNSA Défense le 6 décembre prochain. Parlez-en autour de vous, certains ne sont peut-être pas au courant de cette possibilité.

Notre ADN peut vous correspondre. En ce cas, n’hésitez pas : votez pour vous, votez UNSA Défense

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Le Bureau National de l’UNSA Défense a décidé de ne pas lier d’alliance au niveau national avec une autre organisation syndicale pour les élections professionnelles du 6  décembre 2018

Nous sommes dynamiques, positifs et constructifs afin d’avancer au mieux.

 

N’hésitez pas à nous écrire de votre boîte personnelle ou professionnelle selon vos souhaits à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

RDV sur nos sites intradef et internet, vous trouverez le délégué proche de vous (intradef/dialogues et concertations/organisations syndicales/UNSA Défense)

 

Cela dépend de votre grade et de votre affectation.

Sans aucun doute le Comité Technique Ministériel, autrement dit le CTM, où nous traitons directement avec le ou la Ministre des Armées.

Plus nous aurons de votes et plus nous aurons de sièges et plus nous pourrons vous défendre

Alors n’oubliez pas le 6 décembre, prenez 5 minutes de votre temps pour aller voter. Votre avenir en dépend, adhérent ou sympathisant, vous êtes les bienvenus

Un syndicat a un rôle collectif et individuel :

Collectif :

Mon syndicat discute au travers de différentes instances avec l’administration de tous les textes sur lesquels se fondent ma situation réglementaire :

Le Conseil Commun de la fonction publique (CCFP)

Instance inter-fonction publique créé par la loi du 5 juillet 2010, le Conseil commun de la fonction publique sera spécifiquement consulté sur les questions et textes communs aux trois versants de la fonction publique ainsi que sur les problématiques communes telles que l'évolution de l'emploi public, la mobilité, la lutte contre les discriminations, la promotion de l'égalité des chances ou bien encore le dialogue social européen.

Le Conseil supérieur de la fonction publique de l'État (CSFPE)

Le Conseil supérieur de la fonction publique de l'État est consulté sur toutes les questions d'ordre général concernant la fonction publique de l'État. Il est l'organe supérieur de recours en matière disciplinaire. Il émet des avis ou des recommandations.

Il doit être obligatoirement consulté notamment sur les projets de loi modifiant la loi du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l'Etat, les projets de loi relatifs aux agents civils de l'État ou les projets de décret comportant des dispositions communes à plusieurs corps de fonctionnaires s’ils relèvent de la compétence de plusieurs comités techniques.

Comité technique ministériel (CTM) :

Placé auprès de la ministre des Armées, le CTM permet la mise en œuvre de la loi du 5 juillet 2010, dite « de rénovation du dialogue social », issue des accords de Bercy signés par l’UNSA, le 2 mai 2008. Cette instance non paritaire est composée de la ministre, de ses grands subordonnés dont le Secrétaire général pour l’administration (SGA) et de quinze représentants titulaires du personnel civil directement élus.

Le CTM est le lieu où il est possible d’évoquer avec le ministre des armées et ses conseillers les sujets qui sont au cœur de votre vie quotidienne (rôle et place du personnel civil, considération accordée au personnel civil, risques psycho sociaux, …).

Le comité technique ministériel (CTM) traite pour l’ensemble du personnel civil du ministère de la Défense et des Anciens combattants, quel que soit son statut, de sujets à caractère statutaire et indemnitaire, ainsi que des thèmes communs à la communauté de travail. C’est donc là que sont votés les textes fondateurs (accompagnement des restructurations ou plus précisément l’ordonnance relative au Service de santé des armées, décret relatif à l’agence de l’innovation de défense) qui régiront ensuite votre vie dans les services.

Comité technique de base de défense (CT BDD) ou de chaine d’emploi (CTR)

Un principe territorial : LA BASE DE DEFENSE.

Le dispositif territorial de notre ministère s’appuie sur une organisation en ‘‘Bases de Défense’’, 50 au total dont 5 en outre-mer.

Le CT de BDD est compétent pour l’ensemble des formations de périmètre géographique à l’exception des organismes d’administration centrale.

Un principe de réseau : la chaîne d’emploi (employeur). 

Le CT de réseau est compétent pour les services centraux, les services déconcentrés et les services à compétence nationale relevant d’une même chaîne d’emploi.

13 comités techniques de réseaux  ont été institués : AIR, DGA, DIRISI, DRH-MD, DSNJ, SCA, SEA, SIAé, SID, SIMU, SSA, TERRE, MARINE.

Existe aussi le comité technique d’administration centrale (CTAC) compétent pour les services d’administration centrale et à compétence nationale

Individuel :

Mon syndicat est MON interlocuteur dans le monde professionnel, au travers d’un délégué de proximité.  

Le délégué se trouve dans mon établissement et peut m’accompagner, si je le sollicite, en toutes circonstances professionnelles :

il m’informe, il me conseille, il peut me servir de médiateur ou de défenseur.

Mon syndicat veille à ma situation personnelle dans les diverses commissions paritaires.

Adhérer à un syndicat, pourquoi faire ?

Mon syndicat au travers de mon délégué de proximité, m’accompagne en toutes circonstances professionnelles. Mon délégué a un devoir de secret professionnel.

Il m’informe, il me conseille, il peut me servir de médiateur ou de défenseur, à ma demande.

Mon syndicat veille à ma situation personnelle dans les diverses commissions paritaires.

‘‘Je n’ai pas le temps de me syndiquer...’’

Cet argument est recevable par tous les délégués syndicaux jusqu’au jour où vous serez heureux de trouver un délégué qui lui, prend le temps de vous aider, de trouver les éléments pour vous défendre ou vous apporter les bonnes réponses à vos questions. Vous verrez, c’est agréable…

‘‘Je préfère ne pas m’engager…’’

Vous êtes absolument libre, c’est votre choix de laisser ceux qui ont les mêmes problèmes que vous, se donner les moyens de réagir ensemble dans les situations difficiles.

‘‘Défiler dans les rues en criant des slogans, c’est pas trop mon truc…’’

Si vous limitez le syndicat à cela, vous serez surpris par l’emploi du temps d’un délégué syndical : élu en commissions locales, interlocuteur des employeurs, représentant des agents pour leur avancement, relais d’information aux salariés, défenseur des adhérents, agent de l’action sociale, étude et modifications des textes réglementaires, conseiller des salariés, lecteur de l’actualité sociale, rédacteur de tracts, bulletin d’info, animateur d’équipe, de réunions, saisie des autorités, force de propositions…

‘‘Cela risque de nuire à ma carrière…’’

Il n’est pas certain que l’adhésion syndicale arrive en premier dans l’ordre des choses nuisibles à votre carrière. Listez-les vous-même et situez le syndicat sur cette liste. Il est certain par contre que si vous vivez honnêtement votre appartenance syndicale, personne ne vous en fera le reproche.

‘‘C’est trop cher…’’

Pour le prix de son autonomie de fonctionnement et de son indépendance vis-à-vis des employeurs, l’UNSA s’appuie sur l’acquittement d’une cotisation minimale par les adhérents. Celle-cigénère un crédit d'impots de 66% de l’impôt sur le revenu net et ramène le montant de la cotisation à quelques euros mensuels, dans la plupart des cas de 3€ à 6€ par mois. Si l’argument du prix demeure, relisez le titre de cet édito.

‘‘Ce sont les instances nationales qui décident, pas la base…’’

Dans UNSA, il y a un ‘‘A’’ comme Autonome. Prenez le temps de lire les statuts de l’organisation pour en mesurer la définition. Peut-être alors trouverez-vous nombre d’exemples vécus dans votre établissement, votre région, votre secteur d’activités, faisant largement mentir cette idée répandue que le syndicat ne fonctionnerait que du haut vers le bas. Si cela était avéré, reconnaissez que cet édito d’un militant de base d’un syndicat de base serait nul et non avenu !

‘‘Les autres syndicats vont me ‘‘pourrir’’ la vie…’’

Il est peu probable que cela arrive : l’engagement syndical est respecté par tous les délégués syndicaux indépendamment de leur organisation. Si vous vivez loyalement un engagement respectueux du choix des autres, personne ne vous en fera le grief. Bien sûr, il se trouvera toujours un connard pour vous dire que votre choix n’est pas le bon. Un argument idiot et creux, quasi-indigne, en tout cas sans relief, qui sera à même, justement, de vous conforter dans l’idée que vous avez fait le bon choix.

Si vous n’aimez pas les syndicats en général et l’UNSA en particulier, n'insistez pas ...